Nous réalisons un travail de recherche et développement autour des imprimantes 3D. Nous souhaitons acquérir les compétences nécessaires pour offrir un nouveau service à nos clients. Après l'achat de plusieurs modèles, nous avons réalisé quelques prototypes afin de maitriser l'ensemble des éléments qui composent un process de production avec les imprimantes 3D.
Nous réalisons un travail de recherche et développement autour des imprimantes 3D. Nous souhaitons acquérir les compétences nécessaires pour offrir un nouveau service à nos clients. Après l'achat de plusieurs modèles, nous avons réalisé quelques prototypes afin de maitriser l'ensemble des éléments qui composent un process de production avec les imprimantes 3D.
Si le phénomène Impression 3D s’emballe depuis quelques années, le procédé existe pourtant depuis le milieu des années 80. Voici un bref historique de l’impression 3D présentant les grands tournants techniques ou pratiques. Constructeurs de machines, lanceurs de projets, scientifiques ; toute une communauté a participé au développement de l’impression 3D en améliorant les technologies ou en créant des usages innovants.
1983 pour certains, 1984 pour d’autres tout le monde s’accorde toutefois à attribuer la paternité de l’impression 3D à Charles Hull (ci-dessus présentant le procédé de stéréolytographie) aujourd’hui vice-président de 3D Systems. La première machine, officiellement commercialisée en 1986, reposait sur le principe de Stéréolytography (voir notre page consacrée aux types d’imprimantes 3D). On ne parle pas encore d’impression 3D est la machine est un espèce de prototype testé par de rares entreprises triées sur le volet. Cette première imprimante 3D débouchera sur le premier modèle de série en 1988 : la SLA-2502 de 3D Systems. L’imprimante sert alors aux industriels à créer des objets pour tester leur design avant de décider la production des pièces en série.
Et ce n’est pas n’importe quel organe. Les chercheurs et les ingénieurs créent une espèce de prothèse permettant d’accompagner l’agrandissement de la vessie d’un patient. Outre la contrainte de devoir créer un « objet » adapté à la physionomie du malade, il convient de trouver un système réduisant les risques de rejets. La pièce est donc enrobée de cellules du patient. Cette étape constitue une avancée majeure en ouvrant de nouvelles perspectives à la médecine.
On vous en parle plus en détail dans notre page sur les imprimantes 3D OpenSource. Mais 2005 est bien une date clé. Le Dr Adrian Boyier et son équipe de l’Université de Bath imaginent une prouesse technologique en lançant la construction d’une imprimante 3D capable de créer les pièces utiles à son fonctionnement. Leur but ? Rendre le plus accessible possible l’impression 3D où une machine auto-replicante « viraliserait » son usage et les services qu’elle peut apportait.
Le project RepRap réussi son pari. Leur première imprimante auto-réplicante sort. Darwin permet à un possesseur de créer d’autres machines pour son réseau proche. C’est aussi cette année là que sort la version Beta de la boutique de plans en ligne Shapeways.com. Designers, architectes et ingénieurs peuvent créer des plans de manière conjointe et faire imprimer des objets complexes à prix abordable.
Cette année là, la société MakerBot Industries propose à la vente un Kit DIY (Do It Yourself) à l’attention des particuliers. Tout le monde peut désormais posséder chez soi une imprimante 3D fonctionnelle à prix abordable.
L’impression 3D à vocation médicale fait son petit bout de chemin mais à la fin 2010 tout s’accélère. En décembre 2010, une équipe de chercheur parvient à créer avec une bio-imprimante 3D Organovo un vaisseau sanguin fonctionnel.
Lors de la conférence TedX de Winnipeg au Canada, la société Kor Ecologic présente Urbee, une voiture dont la carosserie est complètement composée de pièces imprimées à l’aide d’une imprimante 3D. Urbee est « eco-friendly » et est dessinée pour consommer le moins de carburant possible. 1,18 litres au cent kilomètre sur autoroute et moitié moins en ville. On estime qu’elle couterait entre 10000 et 50000 dollars si le projet commercial est viable.
i.materialise.com propose l’impression d’objets en or ou en argent. Plus que jamais le monde de l’imprimante 3D fait les yeux doux aux artisans, bijoutiers et « breloquiers » indépendants. Plus besoin de moules pour tirer des pièces en série, le bijou est unique et à prix réduit.
C’est l’aboutissement du travail d’une équipe de chercheurs er d’ingénieurs Néerlandais : une prothèse de maxillaire posées sur une femme de 83 ans qui souffrait d’une infection à la mâchoire. Bien entendu, la prothèse est parfaitement ajustée à son hôte mais elle vise principalement à étudier la reconstruction des tissus osseux.
Triste jour pour l’impression 3D avec l’un de ses plus gros buzz : la diffusion d’une vidéo, puis plus conséquemment, des plans d’une arme à feu. Le tout fait polémique et remonte jusqu’au gouvernement américain qui interdit leurs diffusions. Sauf que quand ça arrive, les plans ont déjà été téléchargés 100 000 fois.
1983 pour certains, 1984 pour d’autres tout le monde s’accorde toutefois à attribuer la paternité de l’impression 3D à Charles Hull (ci-dessus présentant le procédé de stéréolytographie) aujourd’hui vice-président de 3D Systems. La première machine, officiellement commercialisée en 1986, reposait sur le principe de Stéréolytography (voir notre page consacrée aux types d’imprimantes 3D). On ne parle pas encore d’impression 3D est la machine est un espèce de prototype testé par de rares entreprises triées sur le volet. Cette première imprimante 3D débouchera sur le premier modèle de série en 1988 : la SLA-2502 de 3D Systems. L’imprimante sert alors aux industriels à créer des objets pour tester leur design avant de décider la production des pièces en série.
Et ce n’est pas n’importe quel organe. Les chercheurs et les ingénieurs créent une espèce de prothèse permettant d’accompagner l’agrandissement de la vessie d’un patient. Outre la contrainte de devoir créer un « objet » adapté à la physionomie du malade, il convient de trouver un système réduisant les risques de rejets. La pièce est donc enrobée de cellules du patient. Cette étape constitue une avancée majeure en ouvrant de nouvelles perspectives à la médecine.
On vous en parle plus en détail dans notre page sur les imprimantes 3D OpenSource. Mais 2005 est bien une date clé. Le Dr Adrian Boyier et son équipe de l’Université de Bath imaginent une prouesse technologique en lançant la construction d’une imprimante 3D capable de créer les pièces utiles à son fonctionnement. Leur but ? Rendre le plus accessible possible l’impression 3D où une machine auto-replicante « viraliserait » son usage et les services qu’elle peut apportait.
Le project RepRap réussi son pari. Leur première imprimante auto-réplicante sort. Darwin permet à un possesseur de créer d’autres machines pour son réseau proche. C’est aussi cette année là que sort la version Beta de la boutique de plans en ligne Shapeways.com. Designers, architectes et ingénieurs peuvent créer des plans de manière conjointe et faire imprimer des objets complexes à prix abordable.
Cette année là, la société MakerBot Industries propose à la vente un Kit DIY (Do It Yourself) à l’attention des particuliers. Tout le monde peut désormais posséder chez soi une imprimante 3D fonctionnelle à prix abordable.
L’impression 3D à vocation médicale fait son petit bout de chemin mais à la fin 2010 tout s’accélère. En décembre 2010, une équipe de chercheur parvient à créer avec une bio-imprimante 3D Organovo un vaisseau sanguin fonctionnel.
Lors de la conférence TedX de Winnipeg au Canada, la société Kor Ecologic présente Urbee, une voiture dont la carosserie est complètement composée de pièces imprimées à l’aide d’une imprimante 3D. Urbee est « eco-friendly » et est dessinée pour consommer le moins de carburant possible. 1,18 litres au cent kilomètre sur autoroute et moitié moins en ville. On estime qu’elle couterait entre 10000 et 50000 dollars si le projet commercial est viable.
i.materialise.com propose l’impression d’objets en or ou en argent. Plus que jamais le monde de l’imprimante 3D fait les yeux doux aux artisans, bijoutiers et « breloquiers » indépendants. Plus besoin de moules pour tirer des pièces en série, le bijou est unique et à prix réduit.
C’est l’aboutissement du travail d’une équipe de chercheurs er d’ingénieurs Néerlandais : une prothèse de maxillaire posées sur une femme de 83 ans qui souffrait d’une infection à la mâchoire. Bien entendu, la prothèse est parfaitement ajustée à son hôte mais elle vise principalement à étudier la reconstruction des tissus osseux.
Triste jour pour l’impression 3D avec l’un de ses plus gros buzz : la diffusion d’une vidéo, puis plus conséquemment, des plans d’une arme à feu. Le tout fait polémique et remonte jusqu’au gouvernement américain qui interdit leurs diffusions. Sauf que quand ça arrive, les plans ont déjà été téléchargés 100 000 fois.
Publié le 31 Jui 2018